La consommation de viande est très marginale depuis quelque temps, en fait, on était tous mal informé du comment manger de la viande et comment la sélectionner, ou même la produire afin qu’elle puisse être bénéfique pour notre corps.
Prendre soin de la qualité de la viande
Pour détecter la qualité de la viande, il faut s’assurer que sa couleur est rouge avec les quelques contrastes de graisses. La texture de la viande wagyu est parfaitement bonne par exemple. Quand on la touche, cette viande est très souple.
En parlant de viandes, on n’en trouve pas de bonne qualité dans tous les magasins. C’est pour cela que l’on préfère acheter de la charcuterie hallal qui est plus rassurante et hygiénique. En effet, ces viandes sont vendues dans des boutiques certifiées et les conditions d’abattage sont surveillées que l’on ne craint pas de subir des séquelles qui peuvent certainement impacter la santé. En fait, la viande ordinaire est cadrée comme viande rouge.
Élever les animaux en plein air
Pour avoir une belle et généreuse chair, les poules sont élevées en cage, elles sont gavées de provendes et de l’eau. Puis, elles sont traitées par divers produits médicinaux pour éviter les maladies qui peuvent éliminer une colonie toute entière et provoquer la perte de l’éleveur.
Le résultat est tout à fait clair, ce poulet va atteindre les 2 kg et peut-être plus en 30 jours. C’est peu de temps pour l’organisme animal, vu son métabolisme, de digérer les médicaments qui lui ont été administrés, en plus du coup du gavage. Et c’est logique que ce sera le corps humain qui deviendra le consommateur qui subira les impacts de cette indigestion.
L’idéal est d’élever les animaux en plein air ou dans la nature et de lui construire une cage comme refuge la nuit ou lors de l’hiver. Une fois que la chair vient d’une ferme bio, on peut espérer un apport protéiné et vitaminé de cette viande, il suffit de modérer sa consommation comme tout autre aliment.